• Antoine-Joseph-Théodore  De GUILLEBON

    Comte

    * De  GUILLEBONArmoiries de la famille De Guillebon

     

    Né le 14 juillet 1789 à Amiens

    Mort le 28 octobre 1876 à Amiens

    Fils de Claude-Antoine de Guillebon ( chevalier et seigneur de Beauvoir, Bacouel et Troussencourt) et de Gabrielle-Marie-Ursule de Gomer.

    Frère aîné du lieutenant Marie-Jacques-Ernest de Guillebon

     

    Capitaine d'infanterie

    Chevalier de la Légion d'honneur le 15 mai 1815

    Chevalier de Saint-Louis le 14 octobre 1823

     

    * De  GUILLEBON

    Sorti de l'école de Saint-Cyr promo 1805

    Sous-lieutenant au 25ème rgt d'infanterie légère le 14 décembre 1806

    Lieutenant le 25 avril 1809

    Passa au 4ème bataillon auxiliaire d'infanterie légère le 1 janvier 1810

    Puis au 8ème rgt d'infanterie légère

    Capitaine du 8ème régiment d'infanterie légère

    Mis en retraite en 1824

    Campagnes : Prusse et Pologne en 1807 et 1808

    Autriche en 1809, blessé à Friedland d'un coup de feu à la jambe et à Essling d'un coup de feu au pied.

    Attaché à l'armée d'Espagne en 1810, cité à l'ordre du jour le 8/9/1810

    Blessé et fait prisonnier par les Anglais à Ciudad-Rodrigo le 19/1/1812, ne rentra en France que le 12/12/1813.

    Campagne de Belgique, blessé le 15/6/1815 à Bielgue.

     

    Voici l'ordre du jour du 8 septembre 1810 : Le 31 août 1810,le chef d'escadron Saint-Chamans, aide de camp de son Excellence Monsieur le Maréchal duc de Dalmatie, deux courriers, deux estafettes escortés par le sergent Petit et trente hommes du 4e auxiliaire, qui n'avaient jamais vu le feu, sont surpris et enveloppés entre les postes d'Ormilloz et Pietz-Eglesias, par les bandes réunies de Faornil et de Thomas Pruiloz, fortes ensemble de 6 à 700 hommes. A un quart de lieue du poste, les brigands, serrés en masse dans le canal de la rivière, débusquent par un chemin creux, tombent sur l'estafette qui avait voulu prendre les devants; il est enveloppé et assassiné, son cheval tué et ses dépêches enlevées. Le sergent lui même est blessé des premiers coups de fusil, et déjà son accident avait jeté le découragement dans sa troupe, mais le chef d'escadron, Saint-Chamans, ayant réussi à gagner un ravin boisé et à ranimer, par son exemple, ses discours et sa disposition, le courage de son escorte, s'y maintint prêt de trois heures; il aurait infailliblement

    succombé, mais le lieutenant de Guillebon, commandant le poste d'Ormilloz, ne consultant que le danger de ses camarades, accourt avec 20 hommes qui lui restaient, traverse une plaine d'une lieue, s'ouvre un passage à travers les brigands, vient dégager le chef d'escadron et son escorte et les ramène à Valdestillas. Le détachement s'est très bien montré et le sergent Petit, quoique blessé très grièvement, a continué de combattre avec un courage qui n'a pas peu contribué à soutenir celui de ses jeunes soldats dont 10 sur 30 ont été blessés. J'ai l'honneur de prier de vouloir bien faire valoir, près de Sa Majesté, la fermeté de Monsieur Saint-Chamans, le courage du sergent et de ses jeunes conscrits, et la résolution de Monsieur de Guillebon qui a réellement sauvé ce détachement par sa marche hardie. Je ne donnerai pas les mêmes éloges au commandant du poste de Pietz-Eglesias, qui avait 60 hommes et s'est contenté de les mettre en bataille devant son retranchement. Valadolid, le 14 septembre 1810. Général de division, Kellerman. P. C. C. : l'Adjudant Barthélémy. Général de brigade, Bessierres. P. C. C. : Fourtin. Ce rapport sera lu pendant quatre jours devant la compagnie.

                                                                          *

    Marié en 1824 avec Marie-Joseph-Flavie Le Vasseur de Bambecque Mazinghen

    Demeurait au 24 rue Desprez à Amiens.

    * De  GUILLEBON


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  • Louis-Achille  GIGAULT d'OLINCOURT

     

    Né le 1 décembre 1777 à Doullens, paroisse Saint-Martin  (Somme)

    Mort le 12 mars 1847 à Bar-le-Duc (Meuse)

    Fils d'Achille-Alexandre Gigault et de Marie-Josèphe Briard

     

    * Gigault d'Olincourt

     

    Capitaine du génie

    Ingénieur en chef du cadastre

    Chevalier de la Légion d'honneur 

     

    * Gigault d'Olincourt 

    Entré au service comme volontaire en 1791 dans le 4ème bataillon de la Somme dont son père était le commandant.

    Fait les campagnes de l'armée du Nord de 1792 à 1794, assiste au bombardement de Lille.

    Mis en réquisition par les officiers généraux pour le service du corps du génie de la place de Douai le 19 nivôse an II.

    Nommé surveillant des fortifications et bâtiments militaires de la place de Douai le 19 germinal an III.

    Nommé capitaine-adjoint au corps du génie le 1 thermidor an III.

    A servi en cette qualité dans les places de Douai, Lille, Belfort et Hunningue jusqu'à la fin de l'an X.

    A dirigé à Belfort les travaux d'établissement du camp retranché de la Miotte et de la Justice taillé dans le roc.

    Resté en disponibilité jouissant du traitement de réforme jusqu'en 1801.

    Nommé géographe du département des Deux-Nêthes (Anvers) et chargé du cadastre en 1803.

    * Gigault d'Olincourt

    Géomètre en chef  en 1804 et ingénieur-vérificateur du cadastre en 1808.

    Passé au département de la Meuse en septembre 1815.

    Nommé ingénieur-géomètre en chef du cadastre de la Meuse le 29 décembre 1822.

    Il a cessé d'exercer pour cause d'infirmité graves le 1 juillet 1838.

    * Gigault d'Olincourt

     


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  • Louis-Georges  GERIN

     

    Né le 11 juin 1773 à Mailly-Maillet (Somme)

    Mort le 5 juin 1840 à Saint-Marcellin (Isère)

    Fils de Georges Gérin (plafonneur) et Marie-Jeanne Guilbert

    * GERIN  Louis-Georges

     

    Capitaine d'infanterie

    Chevalier de la Légion d'honneur

     

    * GERIN  Louis-Georges 

    Entre au service le 5 octobre 1792 comme soldat au 5ème bataillon de la Somme, devenu le 84ème infanterie de ligne.

    * GERIN  Louis-Georges

    Caporal le 27 nivôse an II, fourrier le 2 floréal an II, sergent le 20 pluviose an III.

    Sergent-major le 1 floréal an XII

    Sous-lieutenant le 6 février 1807

    Lieutenant le 20 février 1809

    Blessé par un coup de feu au genou gauche le 6 juillet 1809 à Wagram où sa brillante conduite lui valut la croix de chevalier de la Légion d'honneur le 8 juillet.

    Capitaine du 2ème régiment de la Méditerranée le 26 mars 1811

    Passe au 2ème bataillon de pionniers coloniaux le 3 décembre 1811

    Incorporé au 8ème bataillon du 3ème léger le 1 juillet 1813

    Passe au 9ème rgt d'infanterie de ligne le 1 août 1814

    Licencié le 17 novembre 1815.

    Cet officier s'est parfaitement conduit dans toutes les affaires où le corps s'est trouvé de 1792 à 1815 et notamment à Wagram où il a mérité par sa bravoure la décoration qui lui a été accordée. 

    * GERIN  Louis-Georges

    * GERIN  Louis-Georges


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  • Vast-Côme-Rémy  GENSSE

     

    Né le 7 juillet 1781 à Puzeaux (Somme)

    Mort le 18 juin 1840 à Puzeaux

    Fils de Pierre Gensse (laboureur) et de Elizabeth Rémy

    * GENSSE  Vast-Côme

     

    Capitaine adjudant-major dans la cavalerie

    Chevalier de la Légion d'honneur

     

    * GENSSE  Vast-Côme

    Entré au 4ème régiment de dragons le 26 janvier 1803, il fait campagne sur les Côtes de l'Océan.

    Brigadier le 24 juin 1806 et fourrier le 14 novembre 1807 à la Grande Armée, il est blessé par un coup de feu au pied gauche à Eylau le 7 février 1807.

    * GENSSE  Vast-Côme

    De 1808 à 1813 il est en Espagne.

    Maréchal des logis le 20 août 1810, mdl-chef le 16 janvier 1811

    Adjudant sous-officier le 1 octobre 1811

    Sous-lieutenant le 12 février 1813

    1814 et 1815 campagne de France, blessé par un coup de feu au bras gauche à Sézanne le 4 mars 1814.

    Porte-étendart le 18 avril 1816

    Adjudant-major le 10 décembre 1817 puis passe capitaine aux dragons de la Gironde.

    Chevalier de la Légion d'honneur le 18 mai 1820.

    * GENSSE  Vast-Côme

     


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  • Firmin-Jean  GENEAU

     

    Né le 19 février 1768 à Amiens

    Mort le 4 septembre 1826 à Mettrai (Indre et Loire)

    Fils de Firmin-Eleonor Geneau (maître-tapissier) et de Anne-Marguerite Trudon

    * GENEAU  Firmin-Jean

     

    Capitaine d'infanterie

    Chevalier de la Légion d'honneur

     

    * GENEAU  Firmin-Jean

    Entré au service le 6 mai 1793, il passe fourrier le 10 janvier 1794

    Quartier-maître lieutenant le 20 avril 1794

    Employé dans son grade dans une compagnie le 2 mai 1797

    Quartier-maître capitaine le 22 mars 1800

    Employé dans une compagnie le 14 août 1802

    Capitaine au 88ème de ligne

    A fait les campagnes de 1793 à 1806.

    Chevalier de la Légion d'honneur le 1 octobre 1807.

    * GENEAU  Firmin-Jean

    * GENEAU  Firmin-Jean


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