• Officiers Supérieurs

    Les officiers supérieurs

    Colonel

    Lieutenant-colonel

    Major

    Commandant

     

    Officiers Supérieurs

    Napoléon hérite des cadres solides et expérimentés de la Révolution. Les généraux et colonels sont jeunes, les commandants d'âge moyen et les officiers subalternes sont âgés et expérimentés. Plus de la moitié des officiers supérieurs a commencé sa carrière dans l'armée royale. Le rajeunissement de la tête assure une direction vigoureuse et intelligente en même temps que les vieux serviteurs demeurés dans les grades subalternes apporteront une perfection rare dans les détails du combat. Mais les pertes nombreuses des guerres de l'Empire et l'augmentation incessante des effectifs des armées entraînent des nominations d'officiers en nombre sans cesse croissant, les cadres au sein de la troupe se révèle insuffisant. Napoléon fonde alors, pour les diverses armes, les écoles de Fontainebleau, Saint-Cyr, Metz, ou Chalons, mais le nombre des candidats est insuffisant.
    On recourt alors à toutes les pressions possibles, jusqu'à l'envoi d'office de jeunes gens dans les Ecoles militaires. "Faites moi dresser une liste de dix des principales familles par département et de 50 pour Paris. Mon intention est de prendre un décret pour envoyer à Saint-Cyr tous les jeunes gens de ces familles, âgés de plus de 16 ans et de moins de 18 ans", écrit l'Empereur à Fouché

     

    Officiers Supérieurs

     

     

                        

     

     

  • Jean-François-Thomas GOULAND

     

    Né le 3 février 1775 au Hamel, commune de Contoire-Hamel

    Décédé le 25 janvier 1853

    Fils de Toussaint Gouland et Marie-Louise Bourguignon

    Chevalier de la Légion d'honneur le 31 octobre 1809

    Officier de la Légion d'honneur le 17 mars 1815

    Chevalier de l'ordre de Saint-Louis le 26 mai 1816

    * GOULAND  Jean-François

     

    Entré au service le 8 septembre 1791 au 4ème bataillon de la Somme.

    Caporal le 13 juillet 1793.

    Sergent au 9ème de ligne le 22 février 1795

    Sergent-major le 15 janvier 1801

    Adjudant sous-officier le 27 avril 1802

    Sous-lieutenant le 2 décembre 1802

    Lieutenant le 25 décembre 1805

    Adjudant-major le 27 novembre 1808

    Capitaine le 10 octobre 1809

    Chef de bataillon au 50ème de ligne le 12 avril 1813

    Mis en non-activité à la réorganisation le 21 août 1814

    Envoyé aux ordres du général Sébastiani le 13 avril 1815

    Placé dans un bataillon de la Garde Nationale en activité le 20 mai 1815

    Major dans la Légion de l'Isère le 21 février 1816.

    A fait les campagnes des ans 1792 à 1796 à l'armée du Nord, en Hollande et Allemagne, 1797 en Italie, 1798 à 1800 en Egypte et Syrie, 1801 à 1805 sur les Côtes de l'Océan et Allemagne, 1809 en Italie et Autriche, 1810 au Tyrol, 1812 en Russie, 1813 et 1814 Illyrie et Italie.

    Blessures:  coup de feu au genou droit en 1793

    Coup de mitraille au bras gauche à St Jean d'Acre

    Touché par un boulet au côté gauche le 6 juillet 1809 à Wagram

    Cuisse gauche traversée  par une balle  en 1813 en Illyrie.

    * GOULAND  Jean-François

     


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  • Marie-François  TURLOT

    *TURLOT Marie-François

     

    Né le 9 novembre 1774 à Péronne (Somme)

    Décédé le 29 juillet 1840

    Fils de François-Louis Turlot (maître-menuisier-sculpteur) et Marie-Françoise Magnen

    *TURLOT Marie-François

     

     

    Entré au service comme soldat le 1 septembre 1793 au 14ème rgt d'infanterie

    Caporal-fourrier le 28 août 1794

    Sergent le 31 janvier 1796

    Sergent-Major le 29 juillet 1799

    Sous-Lieutenant le 22 mars 1800

    Lieutenant le 21 janvier 1803

    Capitaine le 10 novembre 1806

    Chef de bataillon le 21 juillet 1808 jusqu'au 1 mars 1813 où il est mis à la disposition du ministre de la guerre.

    Nommé major par décret impérial le 10 avril 1813, a pris le commandement de 2 bataillons des 59ème et 94ème régiment le 8 août 1813.

    Prisonnier de guerre par les Autrichiens le 15 novembre 1813 lors de la capitulation de Dresde.

    Rentré de captivité le 17 juillet 1814

    A rejoint le 94ème devenu le 78ème rgt le 16 août 1814.

    Placé à la suite le 20 septembre 1814

    Rentré en non activité dans ses foyers le 1 janvier 1815

    21 ans et 4 mois de services.

    *TURLOT Marie-François

    *TURLOT Marie-François


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  • Jean-Baptiste-Henry de Cayeu

     

    Né le 17 février 1789 à Abbeville

    Mort le 20 juin 1877 à Toulouse  (Habitait au 13 rue La Peyrouse)

     

    Lieutenant-colonel d'artillerie

     

    Entré au service en 1809. 

    Chevalier de la Légion d'honneur en 1831, alors capitaine au 8ème rgt d'artillerie.

     

    Officier de la Légion d'honneur en 1849

    Chevalier de Saint-Louis, chevalier de Saint Ferdinand d'Espagne, médaillé de Ste Hélène.

    * De Cayeu Jean-Baptiste

     


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  • Phocion  EYNARD

    Eynard  Phocion

     

    Né le 8 septembre 1796 à Amiens

    Mort le 6 juin 1861 à Bellevue (Seine et Oise)

    Fils d'Etienne Eynard, chef de bataillon du génie, et d'Adélaïde-Louise Nollau

    Eynard  Phocion

     

      Issu de l’école militaire de Saint-Cyr, sous-lieutenant en 1815, il combattit à Waterloo le 18 juin 1815. Lieutenant en 1816, il participa à l’expédition d’Espagne de 1823. Capitaine en 1826, il fit partie, en 1830, de l’expédition d’Alger. Il se distingua et fut blessé à la bataille de Staouéli, près d’Alger, le 19 juin 1830 : victoire du général Berthezène. Il se distingua de nouveau à la bataille de Bougie, fin septembre 1833, sur le golfe de Bejaïa : victoire du général Trézel. Chef d’escadron en 1838, aide de camp du général Bugeaud en 1839, lieutenant-colonel en 1841, colonel en 1844, il participa brillamment à la bataille de l’oued Isly, le 14 août 1844, qui vit la victoire de Bugeaud sur les Marocains, commandés par Mulay Muhammad, fils du sultan du Maroc Abd al-Rahman. Il fut nommé général de brigade en 1851.

    Eynard  Phocion

    Eynard  Phocion


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  • Alexandre-Jérôme  CREPIN

     

    Né le 26 avril 1799 à Hescamps (Somme)

    Mort le 3 août 1874 à Blargies (Oise)

    Fils de Antoine-Jérôme Crépin (laboureur) et de Marie-Rose Lambert

    * CREPIN  Alexandre-Jérôme 

    Major de cavalerie, régiment de dragons

    Chevalier de la légion d'honneur le 14 avril 1844

    * CREPIN  Alexandre-Jérôme


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