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* FOY Adrien-Hippolyte-Arthur

Publié le 22 Mai 2014 par remus80

Adrien-Hippolyte-Arthur  FOY

Surnommé  " Le petit général "

 

Né le 4 janvier 1793 à Ham (Somme)

Mort le 24 mars 1877 à Paris

Fils d'Honoré-Fabien Foy, neveu du général Maximilien-Sébastien Foy et frère ainé du capitaine Vincent-Louis-Alphonse Foy.

 

Lieutenant-aide de camp sous Napoléon 1er

Général de division sous le Second Empire

Grand Officier de la Légion d'honneur

 

* FOY  Adrien-Hippolyte-Arthur 

Elève de l'école de Saint-Cyr en 1809 puis sous-lieutenant au 69ème régiment d'infanterie de ligne.

Il fit les campagnes de 1812, 1813 et 1814 à l'armée d'Espagne et celle de 1815 en Belgique comme aide de camp de son oncle le général Maximilien-Sebastien Foy.

Chevalier de la Légion d'honneur le 9 septembre 1814

A l'époque du siège d'Alger en 1830, il était capitaine et aide de camp du général Damrémont.

Officier de la Légion d'honneur le 29 mars 1831.

Il remplit plusieurs missions en Afrique avec le titre de colonel et d'aide de camp du ministre de la guerre, il participa à la bataille d'Isly.

Commandeur de la Légion d'honneur le 20 décembre 1843.

Après avoir commandé successivement les départements de la Drôme, de la Haute-Saône et de la Somme avec le grade de maréchal de camp en date du 23 août 1846.

Il fut nommé général de division le 10 août 1853 et commanda la 12ème division militaire à Toulouse de 1855 à 1858, d'où il est passé dans le cadre de réserve.

47 ans de service, 9 campagnes de guerre et 2 blessures.

Elevé à la distinction de Grand Officier de la Légion d'honneur le 31 décembre 1857.

Il décède célibataire et laisse pour héritier un frère et trois neveux.

Il est inhumé au cimetière du Père Lachaise, au pied du tombeau monumental de son oncle Maximilien.

* FOY  Adrien-Hippolyte-Arthur

 

 

 

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* THOMAS Adrien-Martial

Publié le 22 Février 2014 par remus80

THOMAS Adrien-Martial , vicomte de Saint-Henry


Baron d'Empire                                      
Général de brigade 
Officier de la Légion d'honneur le 14 juin 1804
Commandeur de la Légion d'honneur le 24 octobre 1814
Chevalier de Saint-Louis

Né le 8 août 1767 à Abbeville (Somme)
mort le 19 juin 1829 à Montreuil-sur-Mer (Pas-de-Calais)

*général  THOMAS Martial



Sous-lieutenant au Service des Puissances étrangères avant la Révolution,il en est fait mention par les brevets qui lui ont été délivrés par le Directoire.
Officier d'Etat-Major auprès du Lieutenant-Général Alexis de la Morlière en mai 1792
Capitaine au 7ème rgt de hussards,devenu le 6ème,en novembre 1792
Employé près du général en chef Hoche en qualité d'officier d'Etat-Major en fructidor an 2
Adjudant-général nommé sur le champ de bataille par Hoche en brumaire an 4,après avoir déployé sa bravoure en Vendée
Employé dans son grade au Ministère de la guerre en ventôse an 4
Retourné auprès du général Hoche en prairial an 5
Employé ensuite aux armées d'Allemagne,du Danube et du Rhin;à cette dernière;il a rempli pendant 2 campagnes la fonction de général de brigade à la division Molitor (corps du Lieutenant-général Lecourbe)
A obtenu un sabre d'honneur par les états du Vorarlberg,il commandait alors la droite de la division Molitor et occupait le poste important de Feldkirch qu'il avait déjà vaillamment défendu l'année précédente.

*général  THOMAS Martial


Chef d'Etat-Major de la 2ème division militaire en janvier 1806
Commandant de la place de Wefel en octobre 1806
Attaché à l'Etat-Major du maréchal duc de Valmy en mai 1807
Employé au 2ème corps de la Gironde en novembre 1807
Employé à l'armée d'Italie en mars 1809
Chef d'Etat-Major de la 1ère division de dragons sous le général Lamarque puis du comte de Grouchy

*général  THOMAS Martial

Lettre de recommandation du général de Grouchy


Pendant la campagne d'Espagne,il était à Baylen et à la tête de ses braves sous le feu d'une batterie et de douze à quatorze cents anglais,escaladèrent les formidables rochers de l'île de Caprée
Baron d'Empire le 6 octobre 1810
En 1812, il était chef d'état-major du 1"corps de cavalerie de la grande armée, et se distingua au passage de la Wilia, en chargeant à la tête d'un régiment prussien, qu'il. avait sous ses ordres, et qui, sur son rapport , obtint plusieurs décorations.

Le grade de général de brigade fut la récompense de sa belle conduite le 25 novembre 1813.
Il fit la campagne de 1813, et fut, en 1814, envoyé en mission à Maëstricht par S. A. R. Monsieur.
Des commissaires prussiens,saxons et hollandais se disputaient la possession de cette place. Les premiers offrirent cinq cent mille francs au général Thomas pour le déterminer à leur livrer sa nombreuse artillerie et tous ses magasins, évalués quatre millions ; il rejeta cette offre, et remit la ville au prince d'Orange, à condition que tout le matériel resterait à la France. Au mois de juillet de la même année, il reçut l'ordre de se rendre en Bohême et en Moravie, en qualité de commissaire du roi pour l'échange des prisonniers de guerre. Au mois d'octobre suivant, on le chargea de la même mission en Russie. Arrivé à Bialystock, il trouva plusieurs colonnes de prisonniers qui refusaient de reconnaître Louis XVIII. Il parvint à gagner la confiance des officiers et des soldats, leur fit jurer obéissance, et les rendit à leur patrie. L'empereur Alexandre, instruit par le maréchal prince Barclay de Tolly, du zèle et de l'activité qu'il avait déployés en cette occasion, le nomma chevalier de l'ordre de Ste-Anne, de la seconde classe.

Le général Martial Thomas, nommé commandant du département de la Seine-Inférieure , et par intérim, de la 15me division militaire, en 1816, était commandeur de l'ordre de Saint-Léopold ( Autriche ); de la couronne de fer ( Italie ), et desDeux-Sicijes; de l'ordre de Guillaume des PaysBas; grand-croix de celui des quatre empereurs ( Allemagne ) ; chevalier de l'éperon-d'or ( Italie ), etc., etc. Il fut mis en non activité en 1817, revint à Abbevîlle quelque temps après, et se retira ensuite à Montreuil, où il mourut le 19 juin 1829.
Malgré l'obscurité de ses derniers jours, pouvions-nous oublier cet ancien ami de Hoche, ce vieux compagnon d'armes de Moreau, de Mathieu Damas, de Molitor, de Bernadotte , et de tant d'autres chefs illustres.

*général  THOMAS Martial

 * Son frère Louis-Charlemagne THOMAS

Graveur de son métier,élève et cousin de Beauvarlet

Contraint d'abandonner son art pour voler à la défense de la patrie en 1792, il devint capitaine dans le 3ème bataillon de Paris, il mourut sur le champ de bataille aux avant-postes d'Aix-la-Chapelle le 1 mars 1793.

source:Biographie d'Abbeville et de ses environs

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* THORY Louis-Adrien

Publié le 21 Février 2014 par remus80

Louis-Adrien-Théodore  THORY

 

Né le 9 septembre 1759 à Montdidier

Mort le 1 janvier 1826 à Montdidier

 

* général THORY

 

 

Général de brigade

 

Entre au service à 17 ans comme soldat au régiment de Condé-dragons en 1776, il traverse l'Atlantique pour la guerre d'indépendance des Etats-Unis, il combat notamment à Savannah.

Trois ans après son retour en France, il obtient son congé en 1784 et devient marchand de bas à Montdidier.

La Révolution lui fait reprendre du service comme officier adjoint à l'état-major de la garde nationale.

Il  est nommé lieutenant-colonel du 2ème bataillon des volontaires de la Somme en 1791, il est employé à l'armée du Nord de 1792 à 1794, il contribue activement à la victoire d'Orchies les 14 et 15 juillet 1792.

Nommé général de brigade provisoire le 4 octobre 1793 .

Il fait campagne à l'armée de Sambre et Meuse 1794-1795

Confirmé dans son grade de général de brigade et maintenu à l'armée de Sambre et Meuse le 13 juin 1795, envoyé à l'armée de Rhin et Moselle en juillet, puis à l'armée des Alpes et d'Italie en août 1795.

En convalescence suite à blessures en septembre 1795.

Mis au traitement de réforme en mars 1797, nommé président du conseil de révision de la 15ème division militaire de 1798 à 1800.

Il sera adjudant-major de la légion de gardes nationales de Montdidier en 1805.

Mis en retraite en 1811.

A son retour il fut entrepreneur du tabac, conseiller municipal et membre de la commission administrative des hospices, son domicile était au 8 rue Saint-Pierre. 

Il était marié à Geneviève-Florence Courtois.

Il décède le 1 janvier 1826 à Montdidier.

Une rue de Montdidier porte son nom.

* général THORY

 

 

 

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* MORGAN de FRUCOURT

Publié le 19 Février 2014 par remus80

Jean-Baptiste-Maur  MORGAN de FRUCOURT

 

* MORGAN de FRUCOURT

Armes de la famille Morgan (les trois boeufs) 

Comte

Maréchal de camp

Chevalier de Saint-Louis

Chevalier de la Légion d'honneur

 

Né le 15 septembre 1756 à Amiens

Mort le 4 août 1830 à Frucourt, en son château

 

* MORGAN de FRUCOURT

 

Fils de Jean-Baptiste Morgan (écuyer et seigneur de Frucourt) et de Françoise-Anne Cheguerly

* MORGAN de FRUCOURT

Incorporé dans le rgt de Dillon en 1775, sous-lieutenant en 1782, il quitta ce corps en 1783 après plusieurs campagnes dont une en Corse et quatre en Amérique de 1779 à 1782.

Reçu chevalier de Saint-Louis après le siège de Grenade en 1779 où il fut blessé d'un coup de feu à la jambe.

De retour dans sa ville natale, il chercha le repos dans une union heureuse avec mlle Delahaye dont il eut 3 fils (2 lui ont survécu).

La Révolution vint livrer à de cruelles épreuves son caractère si bien trempé déja par tant d'années de glorieux services.

Nommé chef de la garde nationale en 1790, il fut maintenu à ce poste élevé pendant 12 années consécutives, il préserva Amiens de la Terreur.

Nommé de nouveau chef de la légion de la Somme le 30 septembre 1805, il fut appelé au commandement d'une légion d'élite sous les ordres du général Rampon, pour la défense des côtes.

Il revint ensuite à Amiens prendre son ancien commandement jusqu'au mois de janvier 1812, époque de sa démission.

Le 26 juin 1810, il avait reçu de l'Empereur la Légion d'honneur.

La Restauration le nomma le 13 mars 1815, maréchal de camp et inspecteur des gardes nationales de la Somme, qu'il conserva jusqu'à son décès le 14 août 1830.

* MORGAN de FRUCOURT

Il n'était pas seulement un brave militaire, il avait l'esprit cultivé et portait un vif intérêt à l'industrie de sa ville, il avait formé en 1803 avec Monsieur Delahaye un établissement de filature hydraulique dans l'ancien couvent de Sainte Claire où il occupa longtemps un grand nombre d'ouvriers.

Les dernières années de sa vie, il les passa dans sa terre de Frucourt.

Il y fut maire de 1808 à 1817. 

Il repose dans le caveau de l'église de Frucourt.

* MORGAN de FRUCOURT

Ses fils : 

* Jean-Baptiste-François-Charles Morgan de Frucourt

Né le 27 novembre 1787 à Amiens et décédé le 30 janvier 1868 à Frucourt

Chef d'escadron de cuirassiers

Chevalier de la Légion d'honneur en 1865 et maire de Frucourt.

* Fring Morgan de Frucourt

Sorti de l'école militaire de Fontainebleau

Sous-lieutenant au 61ème rgt d'infanterie de ligne, mort glorieusement à Waterloo en 1815.

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* GOGUET Louis-Antoine

Publié le 14 Février 2014 par remus80

Louis-Antoine-Vast-Vite  GOGUET

 

Né le 6 février 1764 à Epenancourt (Somme)

Mort le 9 août 1821 à  Epenancourt ( pas trouvé sur l'état-civil de cette commune) 

* Général GOGUET

 

Fils de Antoine-Alexandre Goguet (laboureur) et de Marie-Jeanne-Josèphe-Bathilde Francière.

Frére ainé du commissaire de marine Antoine-François Goguet (1775-1819).

* Général GOGUET

 

Général de brigade dans l'infanterie                     

* Général GOGUET

Officier de la Légion d'honneur

Commandeur de l'ordre royal des Deux-Siciles

 

Il entre au service le 3 septembre 1780 dans le régiment des dragons de la reine.

Le 5 octobre 1782, il passe en qualité de fusilier dans le corps royal de la marine, il tint garnison à Brest jusqu'au 5 septembre 1785, date à laquelle il obtint son congé par remplacement.

Il s'engagea le 1 septembre 1789 dans le régiment royal Hesse-Darmstadt infanterie où il servit jusqu'au 2 août 1791.

Le 31 décembre 1792, il entra comme chef de bataillon dans le 3ème bataillon liégeois et fit les campagnes de 1793 et des ans II et III à l'armée du Nord?

Il se fait remarquer sous les ordres des généraux Dugommier et Pichegru, il passa dans la 101ème demi-brigade de ligne le 11 germinal an IV.

Il fit les guerres d'Italie et d'Helvétie des ans IV à VI et se signala dans toutes les affaires auxquelles sa demi-brigade prit part.

Il fit l'armée d'Orient uù il donna les plus grandes preuves de valeur de l'an VI à l'an IX, notamment au siège de St Jean d'Acre.

* Général GOGUET

 

Le 16 vendémiaire an VIII, il fut nommé colonel de la 22ème demi-brigade d'infanterie légère, confirmé dans ce grade dès sa rentrée en France.

Le 19 frimaire an XII, il reçoit le brevet de chevalier de la légion d'honneur et celui d'officier le 25 prairial.

L'Empereur le désigna peu de temps après pour faire partie du collège électoral de la

Somme.

* Général GOGUET

Il fait ensuite les campagnes d'Italie des ans XIII et XIV, celles de 1806 à 1811 à l'armée de Naples et dans les Calabres.

Elevé au grade de général de brigade par décret impérial du 6 août 1811.

Employé au camp de Bayonne, il reçut l'ordre de passer à l'armée d'Espagne en 1812.

Désigné l'année suivante pour faire partie du corps d'observation de Mayence le 8 juin 1813, il fit la campagne de Saxe.

Prisonnier de guerre lors de la capitulation de Dresde le 11 novembre 1813, il ne rentra en France que le 29 juin 1814.

Il obtint sa retraite le 6 octobre 1815, il meurt dans ses foyers le 9 août 1821. 

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* DELATTRE Louis-Pierre

Publié le 11 Février 2014 par remus80

Louis-Pierre-François  DELATTRE

 

Né le 12 octobre 1761 à Woignarue (Somme)

 Fils de Pierre Delattre (tisserand) et de Marie-Madeleine Couillet

Mort le 2 juillet 1794 à Paris (guillotiné, victime du tribunal révolutionnaire)

 

Général de division dans le génie

 

* Général delattre

 

 

Il entre au service en 1781 comme lieutenant dans les garde-côtes.

Il devient élève sous-lieutenant du corps du génie en 1788 et élève ingénieur des Ponts et Chaussées en 1789.

Après avoir servi comme officier dans la garde nationale de Paris, il rejoint la défense de Lille en 1792 comme adjoint du corps du génie et aide de camp du général Dampierre.

Nommé lieutenant du génie le 1 mai 1793, capitaine le 1 juin et chef de bataillon commandant la place de Collioure en août 1793.

Nommé chef de brigade en septembre 1793.

Promu général de brigade le 3 octobre 1793 à l'armée des Pyrénées Orientales.

Général de division le 3 novembre 1793.

Suite à l'échec contre la citadelle de Rosès, il est arrêté avec deux autres généraux comme traitre à la patrie !!!! cet échec fut un concours de circonstances malheureuses....

Il fut condamné à mort par le tribunal révolutionnaire et guillotiné place du Trône à Paris le 14 messidor an II (2 juillet 1794).

Il est inhumé dans les fosses communes au cimetière de Picpus comme tous les guillotinés de la Terreur.

* Général delattre

* Général delattre

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* DE LA FONS Louis-Anne

Publié le 10 Février 2014 par remus80

Louis-Anne  DE LA FONS

 

* DE LA FONS  Louis-Anne

 

 

Né le 3 octobre 1757 au château de Bernes (près de Péronne)

Mort le 25 août 1848 à Etinehem

 

Colonel de gendarmerie

Maréchal de camp (général de brigade) lors de sa retraite

Officier de la Légion d'honneur

Chevalier de Saint-Louis

DE LA FONS  Louis-Anne

Ordre militaire et royal de Saint-Louis

 

 

Elève à l'école royale de La Flèche en 1766, il passa le 29 septembre 1771 à l'école de Paris et fut placé comme cadet-gentilhomme dans le régiment Royal-Comtois le 6 juin 1776.

Sous-lieutenant le 1 septembre suivant, il fit la guerre d'indépendance américaine au côté de Lafayette de 1780 à 1783, il se trouva à la défense  de l'île de St Vincent d'où les Anglais furent repoussés ainsi qu'au siège et à la prise des îles Tobago, Saint-Eustache et Saint Christophe.

Pendant la campagne de 1781, il faisait partie d'un détachement de 300 chasseurs qui surprit l'île de Sainte Eustache défendue par 1500 hommes de troupes anglaises.

Nommé lieutenant en second le 10 décembre 1784 et promu à la première classe le 6 août 1786.

Il fut compris comme capitaine dans l'organisation de la gendarmerie nationale de la Somme le 15 juin 1791.

Il devint chef d'escadron de la 1ère division organisée en guerre à Lunéville et se rendit à l'armée de Rhin et Moselle.

Il se trouva aux combats de Pelinger et de Trèves dans la journée du 21 thermidor an II, il chargea et culbuta la cavalerie autrichienne jusqu'aux portes de Trèves, il eut son cheval tué sous lui et reçut plusieurs coups de sabre dont un assez dangereux sur la tête.

Il se distingua à nouveau à la tête de sa division lors de la prise du poste d'Arlon par le général Beaulieu.

En l'an III, il remplit les fonctions de général de brigade pendant le blocus de Mayence.

Chef de la 15ème division de gendarmerie le 29 pluviose an VI, il commanda tour à tour les 22ème et 10ème division, il devint colonel de la 15ème division à Arras le 18 fructidor an IX.

Chevalier de la Légion d'honneur le 5 février 1804 et officier de la Légion d'honneur le 14 juin 1804.

Il prit le 7 décembre 1810 le commandement de la 11ème légion à Rodez.

Il obtint la solde de retraite avec le grade de maréchal de camp le 1 octobre 1814.

Chevalier de Saint-Louis dès le 29 juillet 1814.

Il se fixa au château d'Etinehem, près de Bray-sur-Somme, où il mourut en 1848. 

DE LA FONS  Louis-Anne

 

 

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* LEVASSEUR de NEUILLY

Publié le 5 Février 2014 par remus80

Joachim-Joseph LEVASSEUR de NEUILLY

 

Né le 17 mars 1743 à Maisnières (Somme)

Mort le 6 avril 1808 à Banat (Roumanie)

 

Maréchal de camp (général de brigade) -Cavalerie

Généralmajor dans l'armée autrichienne

Général  LEVASSEUR de NEUILLY

 

Aide de camp du duc de Chevreuse en 1758

Gendarme de la Garde en 1760

Sous-lieutenant au régiment Colonel des dragons en 1765

Capitaine commandant en la compagnie du mestre de camp en 1771

Aide-major en 1772 de ce rgt devenu plus tard le 10ème dragons.

Capitaine en 1776 et major en 1779.

Lieutenant-colonel en avril 1788, puis colonel du 5ème de cavalerie en 1791 et colonel du

10ème dragons en février 1792.

Général  LEVASSEUR de NEUILLY

Il est affecté à la division Dillon en septembre 1792 et nommé maréchal de camp .

Employé à l'armée des Ardennes.

Le 28 mars 1793, il est nommé par Dumouriez , commandant de la place Condé sur-Escaut pour pouvoir lui assurer cette place à livrer aux Autrichiens, il échoue et passe à l'ennemi avec Dumouriez le 5 avril 1793. 

Il combattra avec les Autrichiens contre la France.

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* COAYLLET Jean-François

Publié le 5 Février 2014 par remus80

Jean-François COAYLLET

 

Né le 18 mai 1748 à Abbeville (Somme)

Mort le 26 juin 1806 à Blendecques (Pas-de-Calais) 

 

Général de brigade d'infanterie

Général COAYLLET  Jean-François

 

Né " plébéien et sans fortune ", fils de François Coayllet et de N...Belanger.

Le 6 juin 1766, il est enrôlé comme soldat au régiment de Piémont-infanterie.

En 1769, il passe au corps des grenadiers de France , licencié en 1771.

Il devient garde dans la compagnie de la connétablie, maréchaussée, camps et armées du Roi en 1773.

Promu major dans un corps de canonniers sédentaires de la ville de Saint-Omer en 1779, il entre ensuite dans la garde nationale de cette ville en août 1789 et y devient successivement capitaine-major, capitaine de grenadiers puis chef de la légion.

En 1792, il est mis en réquisition pour servir à la tête de 400 gardes nationaux de St-Omer à

l'armée de Belgique.

Général COAYLLET  Jean-François

Il est envoyé en mission par les représentants du peuple pour les revues dans les garnisons de Béthune, Saint-Venant, Aire-sur-la-Lys, Saint-Omer.

Le 17 septembre 1793, il est nommé adjudant général chef de bataillon affecté à l'armée du Nord, puis employé dans la 16ème division militaire.

Nommé général de brigade le 22 septembre 1793.

Il est suspendu de ses fonctions par le représentant Duquesnoy le 15 février 1794, relevé de sa suspension il est autorisé à prendre sa retraite le 23 mars 1795 et admis au traitement de réforme le 30 juin 1800.

Le 6 floréal an VII, il déclare demeurer à Blendecques, près de Saint-Omer, où il décède le 26 juin 1806.   

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* RENOUARD Jean-Charles

Publié le 4 Février 2014 par remus80

Jean-Charles  RENOUARD

Seigneur de La Chaussée

 

Né le 14 juillet 1727 à Amiens (paroisse Saint Michel)

Mort le 31 mai 1807 à Amiens

 

Général de gendarmerie

Chevalier de Saint Louis

 

Fils d'un conseiller du roi, président trésorier de France au bureau des finances d'Amiens et seigneur de La Chaussée.

En 1746, il est garde du corps du roi dans la compagnie de Beauvau.

Il obtient un brevet de capitaine d'invalides en 1768.

Lieutenant de  maréchaussée à Amiens en 1772, puis prévôt général de la maréchaussée en Picardie en 1778, il obtient le rang de lieutenant-colonel le 5 janvier 1779, puis le grade de colonel de la gendarmerie nationale le 18 mai 1791.

Général  RENOUARD  Jean-Charles

Nommé maréchal de camp  le 15 juillet 1792.

Il est mis en retraite le 1 août 1792 avec le grade de général de gendarmerie.

Il est mort à Amiens le 31 mai 1807 à son domicile rue du loup.

En 1768, il avait épousé  en l'église St Rémi d'Amiens Marie-Madeleine Leseigne, fille d'un bourgeois d'Amiens.

Général  RENOUARD  Jean-Charles

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